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RichardEsclave 20M
1 posts
5/31/2023 12:10 pm
J'imagine notre première rencontre


Je suis à l'hôpital, devant une infirmière qui doit m'injecter une dose de rappel de vaccin. Pour me moquer d'elle, je lui dis qu'elle ne me fait pas peur du tout.
Elle me regarde bizarrement et déclare "on verra ça". Elle part un instant et revient avec une nouvelle aiguille, et l'injecte rapidement dans mon bras.
Ma vision se voile progressivement et je vois regard féroce. Je sens que je vais payer cher ce commentaire.

"Clic"
Je me réveille en essayant de comprendre où je suis.
Je n'arrive pas à parler sous l'effet de la drogue. J'essaie de relever mon cou mais un bandeau de cuir le retient à une sorte de table d'opération. Idem pour mes bras en croix, entourés par des ceintures à intervalles réguliers.
Je baisse la tête tant bien que mal et je regarde vers mes pieds.
Je vois le dos de l'infirmière de tout à l'heure, mais ce n'est plus la même. Elle porte une tenue de<b> latex </font></b>moulant intimidante. Un fouet est attaché à sa hanche droite. Elle porte aussi des gants en<b> latex.
</font></b>Je me rends alors compte que je suis nu. Elle est assise sur mon torse en chevauchement, et je suis totalement impuissant : je ne peux pas relever mon buste à cause de poids, et mes jambes ont aussi des ceintures de cuir les liant à la table, même si je ne peux pas les voir.
La seule chose qui peut encore bouger est donc... mon pénis. Enfin, pendant quelques secondes, car je me rends compte avec horreur qu'elle est en train de prendre une totale possession de mon intimité.
Ses mains serrées autour de ma verge et de mes testicules, elle y installe un dispositif de chasteté en métal.
"Clac"
Il se referme, elle sort la clé du cadenas et se retourne vers moi.

"Ah ! tu es réveillé."
Elle se lève et croise les bras.
"Tu vas apprendre la peur"
Je gémis, j'essaie d'articuler, de me débattre. Je soulève un peu mon buste, mais ça ne m'avance pas loin.
Elle le voit, sourit sadiquement et dit "chuuuut. Tout va bien se passer" en s'approchant vers moi. Elle enjambe ma tête et s'y assoit. Elle se penche en avant et installe trois autres ceintures autour de mon torse.
"Maintenant, tu te tiendras tranquille"

Elle se redresse. Le noir m'envahit. Je sens mon visage s'enfoncer dans ses fesses et j'étouffe à petit feu. Au bout d'une minute, elle plie ses jambes jusqu'à la table, coince ma tête entre ses talons et commence à rebondir dessus rapidement. Les chocs m'assomment mais je respire tant bien que mal.

Elle se relève et me regarde : "ça te plaît ?"
Je souffle un "non" rauque.
Ca n'a pas l'air de la déranger, au contraire. "Et je te plais ?"
"non"
Un sourire sadique se profile sur visage. Elle attache ses cheveux et dit "alors tu vas apprendre à m'adorer comme ta maitresse"

A nouveau, elle m'enjambe, cette fois-ci mes bras coincés entre ses jambes, et ses talons évidemment autour de ma tête.
Dans le noir, je la sens s'affairer au-dessus de moi.
Puis elle utilise des cordes pour serrer violemment mes bras en-dessous de l'épaule. Je sens la circulation se couper et mes bras faiblissent.
Elle les détache doucement un par un, en tirant mes mains vers sa poitrine. Dans le court instant où elle m'avait laissé tranquille, elle avait installé des menottes dans les encoches de sa tenue.
Je ne sais pas ce qu'elle compte faire de mes mains faibles et tremblantes là-haut.

Elle les saisis soudain et les presse contre ses seins.
En même temps, elle ondule sensuellement sur mon visage.
Elle fait glisser méthodiquement mes mains le long de corps, en détache une parfois pour me faire admirer toutes ses formes derrière la paroi de<b> latex.
</font></b>J'oublie mon corps meurtri et je ne sens qu'elle autour de moi, sur moi.
Mon sang se réchauffe sous cette domination sadique et sensuelle et je commence à ressentir une douleur croissante sur mes parties sensibles, enflées mais incapables de respirer derrière les tiges de métal.

Je ne peux pas résister au désir. Elle sait très bien comment m'utiliser, comment je fonctionne. Désormais la cage de chasteté tressaute. J'essaie d'écarter mes mains coupées de sang pour ne plus abriter un désir si douloureux mais elle resserre emprise avec ardeur : ses bras sur les miens, mes mains entre les siennes et sa poitrine de latex, ma tête entre ses cuisses et ses pieds.

Alors que je commence à la supplier, elle se relève satisfaite et raccroche mes mains à leur place.
"Alors, tu m'adores ?"
"Ou-oui"
Elle sourit et décroche fouet.
"Je te fixe les règles. C'est "oui, maitresse", compris ?"
"oui"
Le coup de fouet est fulgurant et je hurle de douleur. Je répète en gémissant "oui, maitresse..."
"Très bien"
Elle regarde mes parties sensibles derrière leur cage. J'ai l'impression qu'elles vont exploser.
"Maintenant, en signe de ta soumission, tu vas me dire un secret que personne d'autre ne sait"
J'hésite. Je refuse de la tête car je ne pense pas pouvoir la satisfaire.

"Alors je saurai t'imposer ma loi par la force"
Elle m'installe une muselière et commence désormais une séance de torture assez simple : elle resserre petit à petit les liens de mes pieds, de mes mains, de mon cou jusqu'à ce que je ne ressente plus que la douleur à ces endroits précis.
Elle me fouette partout et vise surtout mon buste à défaut de mes parties intimes derrière leur cage. Elle exploite leur douleur en faisant naître le désir à intervalles réguliers en me forçant à la toucher, à la caresser, ou en s'asseyant sur moi. Elle pose aussi de manière érotique, en montrant sa silhouette, et rit quand je gémis de douleur dans la muselière : mes testicules sont violettes, gonflées, la peau est imprimée dans les barreaux. Quand je ferme les yeux pour ne plus la voir, le fouet me rappelle à l'ordre, accompagné de quelques insultes.

Au bout d'un certain moment, ma seule envie est de me rouler en boule et gémir. Je ne peux faire ni l'un ni l'autre. J'attire attention en gémissant et elle s'assoit sur moi en écrasant la cage de chasteté, en continuant à me fouetter. Au milieu des gémissements, j'articule ce secret qui me rend si vulnérable : "Je suis vierge"

Un sourire sadique parcourt visage. Je me rends compte à quel point mon erreur a été grave. "Désormais, tu m'appartiens. Tu n'as jamais appartenu à personne d'autre. Ton sort dépend de mes désirs."

Rapidement, elle se relève et pose un flacon près de mes hanches.
Elle ouvre le dispositif de chasteté et attrape mes testicules et mon pénis vibrant.
Avec violence, elle commence à me traire en pressant mes testicules pour ne pas me donner de plaisir. Lorsqu'elle sent que le sperme monte, elle attache une ficelle autour d'elles et la serre : je hurle de douleur en éjaculant dans le flacon.

Dés que mon pénis se détend, elle remet la cage et part sans un mot. Elle revient avec une seringue et me murmure "Maintenant, on va s'amuser"
Je réponds "oui, Maitresse" et je sombre dans le noir encore une fois.

Ma Maitresse a entrepris de nombreux jeux avec moi. Parfois, elle est policière et moi prisonnier qu'on interroge avec des punitions sur chaise électrique. Parfois elle est professeure et m'apprend code, ses règles, ses fantasmes et comment les satisfaire. Quand j'apprends mal, je suis puni, évidemment. Parfois elle est médecin et examine l'animal que je suis. Elle sait mener toutes sortes d'expérimentations douloureuses.
En bref, je suis attaché, immobilisé, enfermé, aveuglé, bâillonné, écartelé, fouetté, battu, insulté, dégradé, traîné en laisse, drogué, étranglé et étouffé, excité et restreint à la fois.
Elle me trait quand cela lui plait. Elle sait que quand j'éjacule plusieurs fois en une courte durée, j'ai mal aux testicules de plus en plus. Alors j'ai déjà passé des nuits attaché à la table d'opération, une machine autour des parties, tandis qu'elle déployait tous ses artifices pour me forcer à l'excitation et me vider sadiquement de mes fluides corporels tout comme de mes forces vitales.

J'ai appris à l'adorer sous toutes ses formes de domination, en uniforme, en tenue de ville, et surtout dans habit de<b> latex </font></b>qui a marqué mon esprit. Elle m'a tellement drogué que je ne sais plus si je l'ai déjà vue en lingerie.
Oui... sûrement... j'ai même peur que ce jour-là elle n'ai pris possession de moi totalement... je crois qu'elle me chevauchait comme un cheval, avec férocité, fouet actif et fulgurant... je me rappelle de ce regard qui mêlait mépris, satisfaction, sadisme et plaisir qui absorbait le mien, impuissant, alors que je me vidait totalement en elle...

Je sais désormais à quoi sont dédiées chaque partie de mon corps.
Ma tête est siège. Elle utilise parfois ma langue pour beaucoup de choses dont elle a le secret.
Mes jambes ne sont là que pour être liées ou écartelées.
Mes cuisses, pour être fouettées.
Mon cou, mes bras, resserrés à l'extrême.
Mes testicules, ses deux petits jouets qui méritent d'être attachés, pressés ou malmenés constamment.
Mon pénis est objet d'étude. Elle utilise toujours différent outils pour l'utiliser.
Mes parties intimes sont, dans l'ensemble, la clé qu'elle utilise pour me vider de toute résistance, dans la douleur ou le plaisir.
Mes mains sont là pour adorer corps, la servir elle et plaisir. Rien d'autre. Toute autre utilisation reçoit des coups de fouet.

Elle fait bien attention à ce que je ne voie qu'elle, que je n'entende qu'elle, que je ne sente qu'elle. Elle joue parfois à presser sa peau nue contre la mienne, comme quand elle s'assoit sur mon visage. Mon désir est alors au summum et je reçois toutes les punitions que je mérite.

Alors, vous en dites quoi ?


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