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Elle devient lui Debout nue, elle ne semble ni contrite ni honteuse, Je tourne atour d'elle. Je passe un doigt sur ses hanches et derrière rond. Je repousse ses cheveux à l'arrière de ses épaules alors que ses sourcils se froncent. "Tiens-toi droite ! Les mains sur la tête." Elle se redresse. Elle commence à lever les mains, hésite, inquiète de ce que je pourrais faire à sa chatte, puis cède. Toujours pas exactement la posture que je veux. Je redresse ses bras, rectifie ses coudes pour qu'ils soient exactement parallèles au sol. Et Je tapote cul pour marquer ma satisfaction. Le premier clip sur un mamelon, elle a un petit sursaut. "Pourquoi les seins ?" fait-elle en haussant les sourcils. Il est vrai que ça ne fait pas partie du scénario convenu. En mettant un doigt devant mes lèvres, je réponds "Parce que j'ai envie." Et j'ajoute "les chien aboient ?" introduisant le mot de sauvetage ; elle fait non de la tête. Et je pose l'autre pince sur le second mamelon. Elle fronce les sourcils. La troisième pince, sur sa lèvre, lui tire un glapissement. La quatrième sur l'autre passe mieux. Je trouve ce que je cherchais dans la boîte en plastique, les poids pendulaires. Oh pas des très lourds, seulement 15g ; c'est moins le poids que je choisis que le volume. Je les lui enfile sur les clips de la chatte. Je la regarde : le petit tremblement dans ses jambes, ses bras qui s’affaissent, ses épaules qui se balançant légèrement... Je caresse sa joue alors qu'elle combat cette vaillante bataille. Elle n'ose pas me regarder. "Nous n'avons pas besoin que tu sois parfaite." fais-je dans un sourire.  Je lui dis "Marche un peu." Et je l'interromps dans premier pas. "garde les mains au-dessus de ta tête, les coudes bien écartés" Elle marche altière et aérienne jusqu'au mur et se retourne. Je lui demande "qu'est-ce que ça fait d'avoir des couilles ?" "encombrant" dis-elle avec une grimace. Je m'esclaffe et j'ajoute "qu'est-ce que tu vas dire avec la verge en érection ?" "approche." Après deux ou trois pas, j'ajoute "écarte un peu. Laisse leur un peu de place" Et le boules balancent, frappent et glissent contre ses cuisses, s'entrechoquent. Je déballe le double gode que je lui ai fait acheté. Bien, tout à fait réaliste, on voit même le renflement des petites veinules qui serpentent autour. Je souris. "Suce" Dis-je. Elle me regarde interloquée. Je répète ironique "suce, salope." Et je m'empresse de préciser "suce. Sinon ça va faire mal." Alors elle ouvre la bouche et j'enfourne le machin. Je le lui mets profond ; aussi profonde que je l'ose et je le tourne à droite à gauche. Ses yeux s'agrandissent, elle se recule, respire fort par le nez. Je ressors le gode tout mouillé. Elle tousse. Se plie en deux. Râle. Crache. "putain. lache-t-elle. Je ne lui laisse pas le temps d'en dire plus, je fais péremptoirement "approche." Je suis obligé de préciser "approche le bassin." La voilà le pubis en avant. J'écarte les boules et presse l’embout sur ses petites lèvres. Elle recule les fesses. Je suis et enfonce le gode délicatement. Elle inspire bruyamment et longuement ; en fait tout au long de l'intromission. Elle sautille sur place pour écarter millimètre après millimètre les cuisses. Puis elle pinces ses lèvres entre ses dents. Elle expire durement. En me reculant pour admirer mon ouvrage, je dis "Voilà un beau mâle, bien en forme." Et il est vrai que le gode dépasse largement de vagin ; bien plus qu'un pénis en pleine érection ne dépasse d'un pubis mâle. Elle a un peu les fesses en arrière, les jambes un peu écartées, les genoux un peu pliés. Elle n'est vraiment pas à l'aise. Je me rapproche et ajuste la ceinture autour de ses hanches. C'est un peu compliqué de trouver la bonne longueur qui va maintenir la verge en place, ni trop ni pas assez serrée. "bouge" lui dis-je en faisant tourner deux trois fois ses hanches. "sur le côté." en la déhanchant d'un côté puis l'autre. "en rond aussi." et mes mains lui fond tourner les hanches. "marche maintenant." Elle va jusqu’au mur, se retourne et me regarde interrogative. "encore." Et elle fait deux trois fois le tour de la pièce. Le braquemart balance de haut en bas à chaque pas dans une érection inaltérable mais somme toute réaliste. Au bout d'un moment le morceau de latex s'est positionné en elle, elle marche plus librement. Quand elle passe à ma portée, j'attrape manche et le renfonce au fond. Elle a un moment de saisissement et me regarde durement. "continue" je fais sans relever sa colère. Les balles frottent normalement, le pénis se dresse réaliste. "je ne crois pas qu'on puisse faire mieux." Et je l’entraîne par l’épaule vers le miroir en pied de l’armoire. Elle se regarde de face, de profil, de dos, piétine, balance les hanches en avant, grogne, fais la moue. Elle touche sa bite trop raide, l'empoigne, la fait bouger de haut en bas, de gauche à droite, et même d'avant en arrière. "épouvantable" laisse-te-elle tomber. "affreux" ajoute-t-elle. "déplorable." Je la coupe : "asseyez-vous, Monsieur" en montrant le lit. Elle marche à grands pas nerveux vers le lis et s'assoit, faisant une grimace quand le gode frotte elle. Elle essaye plusieurs écartement des genoux pour laisser la place à l’attirail qu'elle porte. Elle se relève de deux centimètre et repositionne les fesses sur le lit. Elle bouge de droite à gauche, d'avant en arrière. Elle glisse sa main sous la verge et repositionne les couilles. "eh oui, ça prend de la place" dis-je "beaucoup de place même, quand elle grandit." "il y a même rien à faire contre, il faut s'adapter." Elle me regarde incrédule. "et l'expérience n'est pas finie." Je déballe un slip d'homme que je lui ai acheté. "enfile ça" je dis en passant un de ses pieds dedans. Puis l'autre. Et je lui remonte jusqu'aux genoux. Elle se lève et monte le slip. Nous n'avons pas trop de nos quatre mains pour enfourner la bite dans le slip. Je vois bien que ça tire et pousse inconfortablement en elle, que le truc ne veut pas se plier. "tu voulais savoir ce que c'est que d'avoir une bite. Je crois que ça y est." "voilà tu sais ce que ça veut dire que d'être encombré. Je crois qu'il est beaucoup plus difficile de gérer une érection involontaire que de mouiller involontairement. Repense-y, quand tu en feras bander un et même avant de l’allumer. Je pense même que c'est plus difficile à assumer que les règles." Je ne lui laisse pas le temps de discuter : "reste assise. ça va aller mieux au bout d'un moment." "essaye de croiser les genoux. Et penche-toi en avant. Ce n'est pas plus confortable, mais ça rend la grosseur moins visible." "viens on va marcher." "eh bien, mon pote, comment tu vas ?" Elle me sourit jaune. "reste plus qu'à apprendre à pisser debout." Elle éclatée de rire. |
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Maintenant, lui dis-je, mon cher Monsieur, tu vas me baiser
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